LA CONQUÊTE, LA VALLÉE, LE PENTAGONE, tous de la ville de Douala, viennent de prendre sur eux de licencier certains de leurs enseignants, 9 au total, dont la moyenne d’ancienneté est autour de 10 ans, pour des motifs aussi étranges que bizarres. Le dénominateur commun de ces établissements : ils sont entre les mains des héritiers. Nous y reviendrons
Pendant ce temps, d’autres ‘‘commerçant’’ du secteur, appellent déjà leurs enseignants à revenir ouvrir leurs ‘‘boutiques’’. comme si au Cameroun, c’est chaque établissement scolaire qui doit fixer sa date de rentrée et de fin d’année scolaires.
NHYOMOG LUC